L'Oisiveté ou l'Art de Vivre
Flâner, ce n'est pas suspendre le temps mais s'en accommoder sans qu'il nous bouscule. P.Sansot
Explorer l’idée de l’Oisiveté et chercher sa place dans l’espace urbain.
Le milieu urbain n’est pas approprié à l’oisiveté, même s’il y a des bancs, des aires de nature … même s’il y a la possibilité d’une pause, d’une suspension ou d’un arrêt momentané ; quels pourraient être les espaces à choisir, les mobiliers urbains à employer pour sublimer l’oisiveté ? Et résister sans violence au rythme et au bruit ? Le choix du style théâtral masqué / masque plein, nous permet de transcender et de poétiser cette thématique violemment condamnée qu’est l’oisiveté, pour défendre les oisifs et autres butineurs d'occasions, favorables aux bonheurs anodins ...
L’Oisiveté ou faire l’éloge de la paresse, du repos, de la lenteur, du farniente, de la contemplation … propice à la réflexion, à l’introspection et vivre le temps de manière différente.
L’Oisiveté dans un arbre ou sur un tout p’tit bout d’pelouse, au bord de l’eau ou sous un pont, dans une ruelle ou au milieu d’un rond-point, d'un marché, tout en haut d’un escalier ou au fond d’une impasse, sur un quai de gare ou assis sur un banc, pourquoi pas cachée(s) dans une poubelle ou sous un abribus, seule(s), en cachette ou entourée (s), en frontal, en cercle ou en flagrant délit … pour laisser entendre le ronflement du sommeil, la chansonnette du plaisir, le soupir du bonheur.
Contempler un glaçon fondre, creuser, déplacer, transporter, accumuler, griffer, tracer, planter ... tout ce que l'on trouve sur notre chemin ...
Le milieu urbain n’est pas approprié à l’oisiveté, même s’il y a des bancs, des aires de nature … même s’il y a la possibilité d’une pause, d’une suspension ou d’un arrêt momentané ; quels pourraient être les espaces à choisir, les mobiliers urbains à employer pour sublimer l’oisiveté ? Et résister sans violence au rythme et au bruit ? Le choix du style théâtral masqué / masque plein, nous permet de transcender et de poétiser cette thématique violemment condamnée qu’est l’oisiveté, pour défendre les oisifs et autres butineurs d'occasions, favorables aux bonheurs anodins ...
L’Oisiveté ou faire l’éloge de la paresse, du repos, de la lenteur, du farniente, de la contemplation … propice à la réflexion, à l’introspection et vivre le temps de manière différente.
L’Oisiveté dans un arbre ou sur un tout p’tit bout d’pelouse, au bord de l’eau ou sous un pont, dans une ruelle ou au milieu d’un rond-point, d'un marché, tout en haut d’un escalier ou au fond d’une impasse, sur un quai de gare ou assis sur un banc, pourquoi pas cachée(s) dans une poubelle ou sous un abribus, seule(s), en cachette ou entourée (s), en frontal, en cercle ou en flagrant délit … pour laisser entendre le ronflement du sommeil, la chansonnette du plaisir, le soupir du bonheur.
Contempler un glaçon fondre, creuser, déplacer, transporter, accumuler, griffer, tracer, planter ... tout ce que l'on trouve sur notre chemin ...